
(EMI – Heavy Metal – paru le 11 Avril 1988)
Le meilleur riff de l’album ?
Le riff d’introduction de « The Evil That Men Do » très caractéristique des cavalcades de Maiden
La meilleure mélodie de l’album ?
Les chorus de guitares à la tierce à la fin du morceau « Seventh Son of a Seventh Son », hypnotisants
Le meilleur arpège de l’album ?
L’arpège joué aux claviers sur le refrain de « Can I Play with Madness », il provient de nulle part mais ajoute une sacré valeur ajouté à ce passage
Le meilleur refrain de l’album ?
Le refrain de « The Evil That Men Do », a chanter en chœur dans un stade de préférence
Le meilleur solo de l’album ?
Le solo de « The Evil That Men Do », le bijou d’Adrian Smith
Le meilleur musicien de l’album ?
Difficile de départager les deux guitaristes qui font un travail fabuleux sur cet album qui marquera à jamais l’histoire du Heavy Metal. Les autres musiciens sont excellents aussi et Bruce Dickinson est au sommet de sa voix. Petite préférence pour Adrian Smith.
Le meilleur moment de l’album ?
L’introduction de « Moonchild » qui fait monter la pression jusqu’à l’arrivée de tous les instruments, magique, explosif et taillé pour les concerts
Le meilleur morceau de l’album ?
Je suis obligé de citer « The Evil That Men Do » qui est un des hits absolu du groupe